Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

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Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

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Changer les règles de la finance pour pouvoir changer les choses

10/08/2009 16:28

Changer les règles de la finance pour pouvoir changer les choses


Comment réglementer les banques ?
 

La crise financière a eu le mérite de révéler au monde que les règles prudentielles encadrant les activités des banques n’étaient clairement pas assez prudentes. Mais où placer la barre aujourd’hui.
Un manque de réglementation
Le montant minimum de capitaux propres dont doit disposer une banque est fixé depuis 1988 par le comité Bâle, qui regroupe les patrons des banques centrales. Les premières règles (ratio Cooke de 8% de fonds propres sur l’ensemble des engagements de crédit) a été remplacé en 2004 par les accords Bâle 2, dont l’idée est de prendre en compte le risque potentiel des différents engagements. Il faut donc noter que les hommes politiques ont abandonné la réglementation de la finance à leurs banques centrales.
Et clairement, l’automne 2008 a montré que les exigences de fonds propres étaient insuffisantes pour affronter la tempête financière que nous avons connue. Cette faiblesse est d’autant plus inexcusable que le monde a connu récemment de nombreuses graves crises financières qui auraient du permettre de fixer des règles suffisantes pour éviter que les Etats ne soient appelés au chevet de banques trop imprudentes. C’est dans ce contexte-là que The Economist étudie le niveau des ratios prudentiels.
Quel niveau pour les ratios prudentiels ?
Première nouvelle, l’hebdomadaire anglais affirme que les règles de Bâle autorise les banques à un ratio de capitaux propres sur actifs de seulement 2%, sachant que les gouvernements anglais et étasuniens demandent en général 4%, pondéré par le risque des actifs. Cela amène deux réflexions. Tout d’abord, le choix d’un mécanisme qui prend en compte le risque est extrêmement dangereux puisque ce même risque était largement sous-estimé avant la crise, ce qui aboutit à des ratios trop faibles.
Ensuite, il n’y a pas besoin d’être un Mozart de la finance pour comprendre qu’avoir des capitaux propres de l’ordre de 2 ou 4% des actifs est complètement insuffisant pour affronter une baisse des cours de bourse de 50% en moins d’un an, même si les actifs des banques sont diversifiés. Bloomberg a ainsi estimé qu’il aurait fallu des ratios de 10%, voir 12% pour que les banques n’aient pas besoin de l’intervention publique, ce qui reviendrait à limiter sérieusement l’effet de levier des banques.
Quelques pistes pour la réforme de la finance
Mais la réforme des ratios prudentiels n’est qu’un élément parmi d’autres pour remettre la finance au service de l’économie réelle, et non l’inverse. Elle est importante car elle limitera l’effet de levier, qui a joué un puissant rôle démultiplicateur de la crise et qu’il convient donc d’encadrer au maximum. Imposer aux banques de détenir 10 à 15% de capitaux propres sur leurs actifs serait un moyen très sûr pour réduire la taille des bilans des institutions financières et donc le risque qu’elles font peser.
Mais cela ne sera possible qu’en interdisant totalement le hors bilan, qui permet de tricher avec les règles (à un point les engagements hors bilan de Citigroup atteignait 1200 milliards de dollars, la moitié du bilan de la banque étasunienne). Ensuite, il faudra sans doute renoncer à la prise en compte du risque, qui n’est qu’un moyen de jouer avec les règles. De puis, il faudra encadrer la rémunération des banquiers pour limiter les comportements dangereux. Enfin, une taxe Tobin permettrait à la fois de limiter la spéculation et de faire davantage contribuer le monde financier à la collectivité.
Malheureusement, il est peu probable qu’un tel changement ait lieu : aucun des grands dirigeants de la planète ne semble être intéressé par une profonde remise en question. La réforme sera malheureusement a minima, ne nous prémunissant donc pas d’une nouvelle crise…
Source : The Economist, le 11 juin





A lire où à relire !

10/08/2009 11:16

A lire où à relire !


Mémoires

Auteur : Charles De Gaulle  
Editeur : Gallimard  
Date de parution : avril 2000  
Collection : Pleiade Bibliotheque  
Format : 11 cm x 18 cm  
Nombre de pages : 1505  
ISBN : 2070115836  
Outre un reflet précieux sur son époque, les Mémoires du Général De Gaulle sont le témoignage d’un brillant destin écrit par lui-même avec une maîtrise de la langue française rarement atteinte.

Sommaire : 

Mémoires de guerre : 

- L'Appel (1940-1942) 

- L'Unité (1942-1944) 

- Le Salut (1944-1946) 

 Mémoires d'espoir : 

- Le Renouveau (1958-1962) 

                        - L'Effort (1962-...)

 

 

 

 






Condoléances

07/08/2009 12:13

Condoléances


DLR14ème circonscription du Pas de Calais tenaient à présenter ses plus sincères condoléances à la famille de Madame Maryline Delattre, habitant Méricourt, décédée tragiquement avec sa petite fille sur la RN 10 à Bonneval (Eure et Loir). Nous assurons son compagnon et sa fille de notre soutien dans cette épreuve.

 






« La petite soupe »

06/08/2009 21:07

« La petite soupe »


Philippe de Villiers a cédé ! Il vient de rejoindre la Majorité Présidentielle en acceptant de siéger au Comité de liaison des formations politiques qui soutiennent Nicolas Sarkozy.
Cette décision attriste toutes celles et tous ceux qui, même s’ils ne partageaient pas les convictions de Philippe, lui reconnaissait une certaine constance. Comment le président du MPF peut-il désormais soutenir un Président de la République dont il a contesté récemment les principales décisions (Traité de Lisbonne, retour dans l’OTAN, etc, etc…) ?
Philippe de Villiers pour se justifier, déclare se sentir plus efficace pour incarner le souverainisme à l’intérieur plutôt qu’à l’extérieur. Qui peut sincèrement croire une telle énormité ? Je lui souhaite bon courage !
Ceux qui, lors des élections européennes, me reprochaient de ne pas faire alliance avec Philippe de Villiers, comprennent donc aujourd’hui pourquoi j’étais si méfiant. Je connaissais en effet les contacts réguliers entre Philippe de Villiers et l’Elysée et je me doutais bien qu’un jour ou l’autre cela finirait ainsi. Je ne voulais pas participer à une énième trahison de nos électeurs.
Il nous revient désormais à Debout la République de rassembler toutes celles et tous ceux qui refusent une France abaissée et politicienne. Beaucoup de cadres du MPF nous ont déjà rejoints ou s’apprêtent à le faire. J’ai demandé à toutes nos fédérations de les accueillir à bras ouverts car, n’en doutons pas, la mascarade politique d’aujourd’hui appelle obligatoirement à un sursaut. Il nous revient de le préparer.
Comment croire, en effet, que notre pays puisse continuer à dériver ainsi. La caste dirigeante qui nous gouverne n’osant pas s’attaquer aux racines des problèmes.
Un moment d’ailleurs, nos compatriotes avaient cru que Nicolas Sarkozy en aurait la volonté. Mais les postures ne font pas une politique et la situation se dégrade de jour en jour :
• Sur le plan économique, la compétitivité des entreprises françaises s’effondre (euro cher, charges trop lourdes), les PME ferment les unes après les autres et seules, les banques qui tondent les Français, et les entreprises du CAC 40 qui investissent à l’étranger, masquent ce recul historique.
• Sur le plan budgétaire, les déficits explosent car seul l’assistanat peut éviter la révolte sociale, nos concitoyens supportant, de moins en moins, deux poids deux mesures qui servent de politique. D’un côté les privilèges, notamment fiscaux, de l’autre le chômage de masse.
La cohésion nationale, enfin, est ruinée par une immigration non contrôlée qui nourrit les ghettos de nos banlieues.
Face à cela, la politique gouvernementale se limite à des effets de manche, à des mesurettes pour se donner l’illusion d’agir mais se refuse à porter le fer sur les causes réelles du mal :
• Une Union Européenne qui asphyxie notre économie, par l’Euro cher et le libre échange déloyal. • L’absence de contrôle aux frontières et la pensée unique qui interdisent une vraie politique migratoire. • La proximité avec les grands groupes du CAC 40 et les banquiers, qui empêche de mettre l’économie au service du pays. • La volonté de plaire qui consiste à dépenser toujours plus, sans s’assurer des recettes.
Certains me diront : que peut-on faire ? Les Français ont la tête ailleurs, les principaux médias sont très proches du pouvoir, la Gauche ferait bien pire et même Philippe de Villiers abandonne.
Mais c’est justement parce que le couvercle est vissé fermement sur la marmite que cette dernière explosera.
Gardons alors notre cap, affirmons nos convictions républicaines et gaullistes et proposons des mesures très concrètes pour sortir la France de cette crise.
Car le grand paradoxe est que notre pays dispose de quantités d’atouts ; au premier rang desquels les Français qui aimeraient être considérés comme des adultes.
Redonner à notre pays les moyens de maîtriser leur destin en encadrant l’Union Européenne, renforcer la compétitivité de notre économie en s’appuyant sur nos PME, garantir la cohésion sociale en combattant les privilèges et en restaurant le modèle républicain, voilà les axes de notre projet. Nous en parlerons abondamment à nos Universités de Rentrée.
NDA







Concurrence déloyale en Europe : Bruxelles dit "non" aux transporteurs routiers français

06/08/2009 15:51

Concurrence déloyale en Europe : Bruxelles dit


Cabotage routier : Bruxelles rejette la demande française de moratoire

PARIS, 23 juillet 2009 (AFP) - La demande française d’activer la "clause de sauvegarde" pour obtenir un moratoire sur l’élargissement du cabotage routier en Europe a été rejetée par Bruxelles, a-t-on appris jeudi, une décision qui a suscité le mécontentement des transporteurs.
Le secrétaire d’Etat aux Transports, Dominique Bussereau, a informé les organisations professionnelles de ce refus dans un courrier dont l’AFP a eu copie. Mais il assure que "les échanges vont se poursuivre entre les autorités françaises et la Commission", notamment en matière de "réglementation sociale".
Le cabotage routier permet à un transporteur d’un pays de l’Union européenne d’effectuer un transport intérieur dans un autre pays. Le 1er mai dernier, le cabotage a été élargi à sept nouveaux pays (Pologne, Hongrie, République tchèque, Slovaquie, Estonie, Lettonie, Lituanie).
Le vice-président de la Commission Antonio Tajani, en charge des Transports, a estimé que la mise en oeuvre de la clause de sauvegarde n’apparaissait "pas envisageable au regard des principes adoptés à l’échelle européenne par les chefs d’Etat et de gouvernement" dans le contexte de la crise, précise M. Bussereau dans son courrier.
Paris avait demandé le 30 avril à Bruxelles de pouvoir faire jouer la "clause de sauvegarde", qui aurait suspendu pendant six mois en France l’élargissement du cabotage, compte tenu des difficultés actuelles du secteur routier et de l’impact potentiel de cette mesure. La France est concernée par un tiers du cabotage européen.
Les organisations professionnelles se sont depuis plusieurs mois alarmées des conséquences négatives de l’ouverture du cabotage à de nouveaux pays sur un secteur déjà touché par la hausse des prix du carburant l’an dernier, puis par la crise économique.
"Le cabotage aggrave la chute des prix" en raison de la concurrence des transporteurs des pays de l’Est, a ainsi jugé Nicolas Paulissen, délégué général adjoint de la Fédération nationale des transports routiers (FNTR).
"Nous regrettons profondément la décision de la Commission et l’incapacité du gouvernement français à obtenir cette clause de sauvegarde" et "demandons au gouvernement ce qu’il a l’intention de faire pour aider ce secteur en difficulté", a déclaré à l’AFP M. Paulissen.
945 défaillances d’entreprises de transport routier ont été enregistrées dans la première moitié de 2009, selon la FNTR, qui prédit la perte de 40.000 emplois au cours de l’année.
M. Bussereau fait valoir pour sa part dans son courrier que "toutes les dispositions ont été prises" pour anticiper l’application en France des nouvelles mesures d’encadrement du cabotage. Ces mesures au niveau européen ont été arrêtées en juin 2008.
L’encadrement permet de limiter le cabotage à trois opérations sur le territoire national dans un délai de sept jours.
En France, ces mesures ont été inscrites dans le projet de loi sur les transport ferroviaires, actuellement examiné au Parlement. La rédaction du décret d’application du nouveau dispositif est en cours, selon M. Bussereau.
"On espère que ce sera bien voté à l’automne prochain, mais des pays comme l’Allemagne et l’Espagne avaient déjà anticipé la réglementation européenne dans leur législation nationale dès l’année dernière", souligne M. Paulissen.
23/07/2009 14h27 GMT - TRANSPORT-ROUTE-UE - Nouvelles de France - AFP





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